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Textes sur le Seigneur des Anneaux
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Textes sur le Seigneur des Anneaux
Bonjour à tous et toutes.
J'écris un peu et il y a quelques mois, j'avais écris deux textes après avoir relu la trilogie du Seigneur des Anneaux.
Je vous les poste :
Le Trépas du Roi
Quand le souffle m'abandonne
Et que tu cries après moi ;
Quand mes prêtres me pardonnent
Et que tu pries dans le noir,
N'oublie pas...
Quand les nuages recouvrent mon âme
Et que tu cherches mes plaies ;
Quand le feu de l'acier griffe mon corps blême
Et que tu t'accroches à mon poignet,
N'oublie pas...
N'oublie pas que la grâce du soir
Tombe toujours sur les grands guerriers
Et n'oublies pas que de tout désespoir
Peut se relever une armée.
Et surtout,
N'oublie pas que la gloire
De ton roi bien-aimé
Restera toujours et à jamais gravé
Car c'est ainsi que j'entre dans l'Histoire.
J'écris un peu et il y a quelques mois, j'avais écris deux textes après avoir relu la trilogie du Seigneur des Anneaux.
Je vous les poste :
Le Trépas du Roi
Quand le souffle m'abandonne
Et que tu cries après moi ;
Quand mes prêtres me pardonnent
Et que tu pries dans le noir,
N'oublie pas...
Quand les nuages recouvrent mon âme
Et que tu cherches mes plaies ;
Quand le feu de l'acier griffe mon corps blême
Et que tu t'accroches à mon poignet,
N'oublie pas...
N'oublie pas que la grâce du soir
Tombe toujours sur les grands guerriers
Et n'oublies pas que de tout désespoir
Peut se relever une armée.
Et surtout,
N'oublie pas que la gloire
De ton roi bien-aimé
Restera toujours et à jamais gravé
Car c'est ainsi que j'entre dans l'Histoire.
Invité- Invité
Deuxième Texte
Adieux
Dans la brise et dans la brume
Dans le silence et dans l'écume
Des cols, des plaines et des berges
Que nous avons foulés de nos pieds heureux
Insouciants sous le couverts des grands hêtres,
Je me souviens de tes mains sur mon visage.
Je me souviens du temps
Où nous écoutions, alertes
Assoupis dans l'herbe, les chants
Du faisan et de l'alouette,
Du vent et du printemps.
Puisses tu toujours y penser,
Puisses tu y croire encore
Alors qu'ici tout espoir est mort
Alors que l'ombre s'étend dans nos près.
Puisses tu à nouveau rêver
Alors qu'aujourd'hui de notre enfance
Ne subsiste que la haine et la souffrance.
Puisses tu écouter à l'aurore
La triste voix du merle
Et l'ultime appel du cormoran
Quand tu atteindras enfin le port
Et le navire qui te conduira
Loin de moi, au-delà des Terres Immortelles.
Dans la brise et dans la brume
Dans le silence et dans l'écume
Des cols, des plaines et des berges
Que nous avons foulés de nos pieds heureux
Insouciants sous le couverts des grands hêtres,
Je me souviens de tes mains sur mon visage.
Je me souviens du temps
Où nous écoutions, alertes
Assoupis dans l'herbe, les chants
Du faisan et de l'alouette,
Du vent et du printemps.
Puisses tu toujours y penser,
Puisses tu y croire encore
Alors qu'ici tout espoir est mort
Alors que l'ombre s'étend dans nos près.
Puisses tu à nouveau rêver
Alors qu'aujourd'hui de notre enfance
Ne subsiste que la haine et la souffrance.
Puisses tu écouter à l'aurore
La triste voix du merle
Et l'ultime appel du cormoran
Quand tu atteindras enfin le port
Et le navire qui te conduira
Loin de moi, au-delà des Terres Immortelles.
Invité- Invité
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